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L.A NEWS Ils sont beaux, bronzés, glamours, attachants ou provocateurs, les stars, qu'on le veille ou non, font partie intégrante de nos vies. Nous sommes tous passionnés par ces célèbres faces, ces sourires plus ou moins francs et ces belles gueules qui valent des milles et des cents, mais vous êtes-vous déjà demandé ce que toutes ces paillettes peuvent bien cacher ? Hollywood semble trembler depuis l'arrivée fracassante de celle qui se fait surnommer 'la grande Moore'. Semble-t-il que la vipère a ouvert une voie inconnue pour tous les ouliés d'Hollwyood - lire la suite
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Graphisme de hidden happiness et codage réalisés par shock wave, cccrush, arthémis, Felicis, coeurdelion et terrible. OH! est un forum célébrité ouvert en juillet 2014.
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crossing the abyss (tw) niall
Dolly Chamberlain
Dolly Chamberlain
world's gonna know my name
sweetdaddy (he/him)
74
poupée de la moore se meut à tripotée vache des ficelles de la maître chanteuse.
papillonne, les amas d'écailles mortifient la catalepsie passionnelle. l'ondoyante détale au nectar d'une printanière fourberie.
chandelyer (ava) pille (quotes)
19.03.23 17:06
blonde arpente au gré de sa sournoiserie, silhouette s'harmonise furtive dans l'ombre, conque grapille les confidences, les fusionne à griffes acérés pour flouer les gogos sous de malhonnêtes esquisses, balafrées par innocence profilée, nichée sur les traits quand chantonne derrière la façade gorgone, famélique du désastre. flegme de la stratège, trainé sur une éternité depuis que la moore lui met sur son chemin challenge à sa taille. accoutumée à escroquerie de quelques heures, troque le jeu d'enfant pour la délectation de la harpie. le boy-band le plus gogo en sa ligne de mire. pour autant, coriace à approcher. une chance de s'immiscer, de s'incruster félonne dans l'existence. de le brusquer là où l'esprit se nourrit d'intérêt, où le palpitant pompe pour enlacer.

les mires percent l'obscurité, au parking s'étiole les ombres, dans le silence d'un astre crevant se pointe la lueur blafarde du satellite, s'éveille enfin la combine.  ressassée en deux temps, lorsqu'elle avait fini par le cerner. vie personnelle déballée par  bouches intimes,  psylle fatale s'enlise, empoisonne la prudence. oreille indiscrète et passé fouiné. ce soir,  ses abimes ont gueulé leur volonté de tromper. les figurants du clip comme les autres quittent à poignée le plateau, blonde demeure dans l'habitacle au coté d'un complice, pion à rembarrer une fois le jeu mené à bien. la position calculée, une proximité tape-à-l'œil de la sortie. le drame en suspend, le plan en bref récapitulatif pour écouler le temps. l'attente qu'il sorte à son tour, quitte là où un peu plus tôt, elle le pomponnait, lui susurrait suave et bienveillante la bonne chance. « tu sais ce que tu dois faire bébé. jette moi en beauté. » clin d'oeil, rictus aguicheur. épouvantails au yeux, vents des phalangines font verser quelques larmes provoquées, sabotent le mascara. manœuvre tactile, tristesse à l'oeil gâchée par péricarde barricadée. peine dont elle se bat l'oeil frigorifique, le passé enterré. l'implacable myocarde gronde toujours plus qu'il ne s'humanise, désormais.  et à la vue du blond raclure détonne, balance par la fenêtre le sac à main, grommelle quand dolly feint les pleurs, le mal qu'elle subit. « t'es sourde, evely ? j'veux plus de toi, je veux que tu te casses. je t'ai jamais aimé ! et avec toi maintenant, je m'emmerde comme rat mort. » la main du bourreau force la portière, incite la blonde à foutre le camp sans scrupule du siège passager. « ….tu peux pas être sérieux ? après tout ce qu'on a... » connard déguisé claque la porte au nez de la plaquée, envoie valser le portable par la fenêtre qu'il clôt. « bye evely, c'est fini. » il démarre, fait crisser les pneus sur le goudron et détale dans l'obscur. immobile, impatiente en son for, de voir. s'il réagit, s'il lui tend une main salvatrice. bouton d'or sanglote, fait mine de se penser seule au monde. s'agenouille et commence à rassembler ses babioles étalées au sol, puis se retourne, joue la surprise. « um? oh non. je dois avoir l'air pitoyable. désolée pour.. ça. » honteuse détourne le regard, cache tant bien que mal – lamentablement- ses joues fardées de noir, et réalise que son portable est laminé. « c'est pas vrai, comment j'vais rentrer... »  qu'elle chuchote, le ton fallacieusement secret - qu'il entende la détresse ouvrir son coeur à la nuit.
by delirium











crossing the abyss (tw) niall

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