L.A NEWS Ils sont beaux, bronzés, glamours, attachants ou provocateurs, les stars, qu'on le veille ou non, font partie intégrante de nos vies. Nous sommes tous passionnés par ces célèbres faces, ces sourires plus ou moins francs et ces belles gueules qui valent des milles et des cents, mais vous êtes-vous déjà demandé ce que toutes ces paillettes peuvent bien cacher ? Hollywood semble trembler depuis l'arrivée fracassante de celle qui se fait surnommer 'la grande Moore'. Semble-t-il que la vipère a ouvert une voie inconnue pour tous les ouliés d'Hollwyood -lire la suite
Graphisme de hidden happiness et codage réalisés par shock wave, cccrush, arthémis, Felicis, coeurdelion et terrible. OH! est un forum célébrité ouvert en juillet 2014.
le myocarde défaillant ne bat plus au rythme bath de ses émotions dominées. poupée étale un rictus sur son visage poupin pour charmer, tromper, calciner les ailes. bat des cils pour envoûter, couine à émouvoir, renverse les défenses pour mieux s'enliser vipérine dans les méandres. exhiber le reflet éthéré du cœur, à rare comète dans la nuit. insensible à ces délices, ces plaisirs voués à attendrir toutes les âmes encore candides de tendresse et d'égards qui mènent vers une déchéance certaine - la mécanique glaciale à la manigance de la couronne ornant diablement la crinière de blé. elle s'est érigé un empire infaillible, aux coups fourrés ses manœuvres solitaires, sans foi ni loi. la moore en seule menace qui hérisse, un jour la garce va mordre.
quelques jours en terre antagoniste de beverly hills, de la villa à confort minutieux de l'altesse pour quelques jours de tournage où ses doigts de fées sont tenus de faire briller, c'est au cœur de l'eastside qu'ils déposent bagages, dans l'un des hôtels fastueux digne de leur gamme pour favoriser l'arrivée sur le plateau. une matinée à sublimer les traits, quelques heures à épier sa prochaine cible. riche snob, pédant qui s'la raconte. elle savait dolly, qu'il faudra flatter, se montrer admiratrice sans pour autant succomber au charme qui émoustille que l'ennui, le désir toujours plus cruel de le dérober de son vilain secret pour asséner le coup fatal. derrière les apparences trompeuses, charmeuses, le fantasme ultime de lui cracher son venin. l'affiche ne pas déranger sur la poignée de bon matin. avoir en horreur qu'on s'immisce dans son intimité – voleuse connait que trop bien les combines scélérates, et en arrivant plus tard au pied de sa chambre une brunette avait resquillé. « tu fiches quoi conchita ? tu sais pas li...» intruse se tourne, les traits se figent, un démon refait surface. «seoyun.» souvenirs tranchants, stalactites titillent l'estomac. inconfort abstrus s'évince à morgue des remords. cette nuit de trahison en foudroiement, ce poignard éhontément planté dans le dos de l'âme sœur du crime. ce sourire démonial et assassin d'amour en adieu; de front on lit sur ses traits la gloire peste, à retroussis la confusion d'un inconfort qu'elle flambe comme d'un regard incandescent elle annihile minet rougissant. « viser trop haut dans le ciel t'auras fait lamentablement te vautrer. » blonde tire, blonde s'engouffre dans ses carnassiers tréfonds pour déjouer la vermine qui grouille. elle ne sait rien de ce qui l'amène dans son antre de luxe à milles étoiles, mais tire les conclusions qui se font lacérées, sans pitié. « puisque t'es là, je manque de serviettes de bain. et la prochaine fois, je te prierais de mieux faire ton taf, ou je vais devoir me plaindre. pour le luxe des prochains occupants. » prendre de haut plus que ses talons aiguisés l'élève déjà fièrement dans l'éther, et l'ego démesuré de la princesse se mesure à sa vache splendeur, à l'apogée radieux de sa gloire.« ça va être tout, pour l'instant. j'ai rien à te faire astiquer. tu peux disposer. » le sourire rehaussé d'un brasillement de suffisance, comme si tout n'avait jamais été plus que du vent.
la matinée, se termine dans la paix absolue avec un client plutôt arrangeant et seoyun lui en est reconnaissante. elle n'avait pas l'énergie de s'occuper d'une diva aujourd'hui, cœur trop agité pour vouloir y faire face alors elle avait été soulagée de se retrouver face à un homme riche qui n'était pas connu en dehors de sa sphère de travail. ils avaient eu rendez-vous tôt et seoyun s'efface du décor lorsque son travail est accompli, môme qui sort de la chambre d'hôtel de l'homme une fois qu'il est habillé avant de tomber face à quelqu'un. elle a le dos tourné seoyun alors elle ne peut pas mettre de visage sur la malpolie et finit par se retourner pour voir dolly. poupée du mal lui semble être un meilleur nom, si on lui demande son avis ceci dit. — bonjour dolly. la politesse reste le maître mot de son éducation même si son visage laisse transparaître un dédain certain pour son ancienne acolyte et amie (si ç'avait été le cas un jour). elle laisse la poupée cracher son venin - sans doute que c'était devenue une seconde nature pour elle et avec du recul, seoyun se sentirait presque désolée pour elle. si seulement elle ne lui avait pas planté un couteau dans le dos avant de le remuer dans la plus grande des douleurs. oui, peut-être que si elle n'avait pas fait ça elle serait désolée. mais elle se sent incapable d'être désolée pour la peste. — je m'occupais d'habiller ton client, pas de ses serviettes. elle répond simplement, choisissant d'ignorer ses attaques du mieux qu'elle peut. elle prétend que ça ne la touche pas, que ça ne vient pas froisser son cœur déjà piétiné par la blonde. — je te laisse le soin de l'asticage, elle lui glisse avec un sourire assassin, — il est plutôt tendu aujourd'hui. son sourire disparaît parce que dolly ne les mérite pas, elle ne mérite plus rien. mais elles arrivent pas à se détacher l'une de l'autre semblerait il. sœurs assassines vouées à se retrouver quoi qu'il arrive.