L.A NEWS Ils sont beaux, bronzés, glamours, attachants ou provocateurs, les stars, qu'on le veille ou non, font partie intégrante de nos vies. Nous sommes tous passionnés par ces célèbres faces, ces sourires plus ou moins francs et ces belles gueules qui valent des milles et des cents, mais vous êtes-vous déjà demandé ce que toutes ces paillettes peuvent bien cacher ? Hollywood semble trembler depuis l'arrivée fracassante de celle qui se fait surnommer 'la grande Moore'. Semble-t-il que la vipère a ouvert une voie inconnue pour tous les ouliés d'Hollwyood -lire la suite
Graphisme de hidden happiness et codage réalisés par shock wave, cccrush, arthémis, Felicis, coeurdelion et terrible. OH! est un forum célébrité ouvert en juillet 2014.
Quand Dylan n'était pas à Los Angeles, autant dire que je m'ennuyais et c'était incroyable à quel point le brun avait pris de l'importance dans ma vie. Certes, je vivais chez mon cousin pour le moment, mais je cherchais quelque chose à moi puisque je n'allais pas squattée alors qu'il construisait sa petite famille. Du coup, j'étais à la recherche d'une maison pour que ma chienne est assez de place pour circuler sauf que toutes ses recherches me taper sur le système nerveux à un moment donner. Billie me faisait signe qu'elle voulait sortir en plus, du coup, ni une ni deux, je me lève du canapé, enfile quelque chose pour sortir et c'est parti pour aller promener, de plus, il faisait nuit et donc avec un peu de chance, on sera tranquilles ma chienne et moi. Je m'étais diriger vers Venice Beach en voiture pour qu'elle puisse se défouler en courant et en se rafraîchissant dans l'océan. Lorsque nous arrivons sur place, elle part comme une folle, ce qui me fait rire en la voyant sauter et courir dans tous les sens, bien contente d'être là. Je m'amusais à la filmé et à la poster en story Instagram tout en répondant à des textos que j'avais reçu de mes proches sauf que Billie fonça vers quelqu'un pour lui faire la fête. Je me dirige donc vers eux, honteuse que ma chienne saute sur n'importe qui comme ça. "Désolée, ma chienne est de bonne humeur ce soir." Sauf qu'en approchant, je reconnaissais de qui il s'agissait et je comprenais mieux Billie du coup. "Evan ? Hey, ça fait plaisir de te voir." Dis-je alors que je m'approchais de lui pour lui offrir une étreinte rapide. Cela faisait longtemps que nous nous étions pas vu tous les deux et autant dire que j'appréciais autant l'humain que l'acteur aux multiples talents, il l'avait prouvé après avoir gagner plusieurs prix. Lui et moi avions eu la chance de nous rencontrer à une soirée people et nous avons tout de suite accrocher, du coup le revoir ce soir me faisait plaisir, car la dernière fois, on a pas eu le temps de bien discuter vu le monde présent, mais là, nous étions seuls, du coup, ont allaient pouvoir mieux échanger et puis peut-être que la présence de Evan me fera oublier que Dylan me manque lorsqu'il n'est pas ici. "Si tu n'as rien de prévu, on peux marcher ensembles si tu veux." De plus, ça m'éviterait de traîner seule la nuit, chose que je sais que mes proches n'apprécieraient pas, mais j'avais clairement besoin de prendre l'air sans être déranger et quoi de mieux que la plage en pleine nuit. Mais je n'étais plus seule maintenant, clairement j'étais en très bonne compagnie et c'est pour cette raison que j'espérais qu'il n'est rien de prévu.
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The most healing thing in this world is when someone embraces your wounds not seeing them as disasters in your soul, but simply as cracks in which to put their love. ☾☾
Evan Peters
kingdom on earth
devil in disguise (he/him)
400
météore ficelier d'attraction obsessionnelle, enflamme les lueurs et lui se consume. à l'impulsivité maladive les débris poussières. acteur.
sans entrailles à la pulsion d'amour minable. besoin viscéral à l'obstacle de l'insoluble, tentation loyale d'elle, le cœur hanté à l'exil des attaches volages.
fürelise (ava)
03.02.23 7:01
night walk ★ like a stone (vêtements/aesthetic/musique) sorgue d'astres le recueille en consolation d'un spleen qui l'encage dans l'envie d'errance. il foule la naphte goudronnée, velléité d'une destination consommée comme un mégot, le battant cendré d'imprévisible jusqu'à ce que le bord de mer l'appelle, captive les pas sans but. parcimonie éclatée germant l'iris quand c'est esquiver l'alternative de tomber sur un fana qui se met à l'animer comme seul désir, unisson avec l'allèchement de se perdre dans la flegme de la nuit ; mécanique sur pieds, que rien ne peut ébranler. éventre la plage à tranquillité qui lui suffit, fugitif de l'ubuesque réalité se fait tromper par les méandres de la pensée dans sa provocatrice quête. callosités de l'âme hasardées au premier plan, les faux pas, les tourments à l'exorcisme de pierres qu'il fait ricocher en flop de frustration sur la mer quiète, puérile de la lune comme impulsivité ne laisse rien à glaner de tourments, s'assujettit à fardeaux de ce tout ce qu'il a récolté. un regret pour elle, pour tout ce qu'il lui a déversé ce soir sur portable, avant de lui avoir donné raison sous couvert du silence. à ne s'en doute jamais retrouver pareille passion, addiction, affection que lorsque c'est son pire cauchemar à chevelure d'or qui lui fait cadeau empoisonné. malgré tout, toujours, encore, vouloir la posséder. qu'elle soit à lui, qu'elle l'aime à se damner comme au premier jour, et ne peut que le voir lui à ses côtés. sa vie pour ses yeux s'empoisonne, morsure lentement létale qu'il est venu chercher à sa rencontre après sevrage, encore. accro au naufrage violent de s'en affranchir, jamais tourner le dos sans un jour se retourner. et toujours ce sera de ses mains que le coup fatal pourra les séparer, à ne rien laisser d'autres en débris que son cruel et sempiternel manque, et le regret de n'avoir su mieux l'aimer malgré sa laideur.
carcasse s'enfonce dans le sable, la volonté ferme et le moyen de chasser les démons déniché dans l'abysse de sa poche. présent d'anniversaire offert par proche débraillé qu'on ne dupe pas; les nerfs à vif, l'esprit en chambard constant. du mental encore branlant, des habitudes viciées par le parasitique de son dernier rôle barbouillé crasse en la charpente. joint de cannabis emparé, le rouillé plus high depuis la folie de sa vingtaine. doute d'un instant, de s'en débarrasser. « ..une plante, ça a jamais tué personne. » bâton s'allume entre les doigts, quelques taffes entre les charnues, poumons s'en enivrent et regard se perd dans l'immensité qui le confronte jusqu'à ce que présence canine se fasse envahissante et le tire de sa transe. la surprise le fait se redresser, sur le moment enjoué par le sac à puces qui cherche quelques caresses. radieux et voix d'andouille lorsqu'il babille en le caressant. subitement, paranoïa du défoncé planque l'objet de l'angoisse derrière lui après l'avoir éteint, comme le pubère lamentablement refroidit chopé en flagrant délit. toussements, manque de s'étouffer. « ..oh hey, florence... non, tu sais je les adore ces boules de poil. et, oui. moi aussi, ça fait plaisir. ça fait un bail. » rictus peu fiable, la paluche toujours hors champ de vision, et cette odeur acre qui alimente les soupçons, il en est sûr. « c'est moi ou, ce soir la mer dégage une pouacre odeur d'algues ?» haussement d'épaules, finalement immaculé de son tort. et alors que la blonde lui propose de marcher, dans l'élan exagéré, agité enfonce le cadavre dans sa poche. retard de réponses, effets de l'indica le dominent peu à peu. le sourire un peu trop niais. « tu tombes à pic, j'avais justement besoin de me dégourdir. je suis content qu'on se recroise. même aussi tardivement. surtout aussi tard, je pourrai faire fuir les crapules. suffit qu'ils me voient la tronche. » référence à son dernier rôle grugeant, amusement plutôt que tourment. détendu de toute la pression, de tout ce qui le hantait un peu plus tôt à agacements d'couteaux sur les plaies. intérêt posé sur l'animal, les caresses déployées sans retenu maintenant qu'il n'a plus rien à dissimuler. « son petit nom à la bête ? »
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