aux souffles concupiscents des abominables de désirs, baiser est morsure DESTRUCTRICE. elle a le feu d'enfer qui calcine le marbre, le charme elle seule à l'incendiaire. laid cavaleur perd gourmandise aux lombes qui ne sont pas elle, et aux ardeurs fadasses c'est sa véhémence mâle en phantasme inavouable qui grise petite mort. attraction malade à malsain carnage des cœurs ; se bourrer d'un conte amer pour déguiser cinglée fringale. passion effrénée plus que d'amour qui meurt inévitable, les je t'aime qu'ils ne se sont jamais promis éternels – d'éphémères ils s'en ont niqués couple libre, sans frein à penchants. ou encore amour débridé plus que de passion qui enivre, fièvre est fumeuse, et aujourd'hui amour ils s'en braquent connerie de poison. passion est viciée toxique affection, gorgone et odieux insupportent vices de l'autre qui échauffent la bile de possessivité nocive, éclopés amoureux estiment dégout féroce de l'autre plutôt qu'amour aliéné à se manifester premier imbécile à épancher sentiments tenaces à perfide personnage. faire déloger menace, et l'oublier à jamais. mais jamais flancher, jamais en avoir assez. butés dans le paradoxe vénéneux, ravagés se rongent et ripostent démoniaux sans foi, aux grands maux les vilains moyens alors que dans le cloaque sans fond où les immondices les plus informes remues leur vestige ils s'accrochent accro à reflet. la constellation des fangeux s'est fragmentée sciures désastreuses à flambe reliure de leur hideur -  vois comme je suis le pire à te désirer