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L.A NEWS Ils sont beaux, bronzés, glamours, attachants ou provocateurs, les stars, qu'on le veille ou non, font partie intégrante de nos vies. Nous sommes tous passionnés par ces célèbres faces, ces sourires plus ou moins francs et ces belles gueules qui valent des milles et des cents, mais vous êtes-vous déjà demandé ce que toutes ces paillettes peuvent bien cacher ? Hollywood semble trembler depuis l'arrivée fracassante de celle qui se fait surnommer 'la grande Moore'. Semble-t-il que la vipère a ouvert une voie inconnue pour tous les ouliés d'Hollwyood - lire la suite
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fiel des amants (tw) emma
Evan Peters
Evan Peters
kingdom on earth
devil in disguise (he/him)
400
météore ficelier d'attraction obsessionnelle, enflamme les lueurs et lui se consume. à l'impulsivité maladive les débris poussières. acteur.
sans entrailles à la pulsion d'amour minable. besoin viscéral à l'obstacle de l'insoluble, tentation loyale d'elle, le cœur hanté à l'exil des attaches volages.
fürelise (ava)
Mar 22 Nov - 11:17

fiel des amants ★ never break the chain
(vêtements/aesthetic/musique)

besoin latent du psychique cuité et dépossédé de confort dégouline manipulation éhontée de la voir, elle. faire sauter les bornes du raisonnable à coups fourrés qui la font flancher, tomber du haut de son insensibilité fictive lorsque cauchemar du passé rampe calvaire carnassier au derche; ce soir le malin fait parade de sa vicelarde innocence,pour elle le mal saute chatoyant pipeur. emma, j'ai déconné dignement dégénéré. t'es la seule à qui je peux en parler, t'es la seule qui peut comprendre.emma, t'as pas intérêt à me tourner le dos maintenant, pas ce soir.hydre de lerne domine ses visages malsains. parce que même s'il n'y avait plus la moindre facette à lui cacher, il pouvait de sournoiserie faire avaler ce qui le ronge en acide, ce qui l'a toujours pesé - et leurrer. messages carabinés; appel irréfrénable d'elle. le coupe-gorge, nid de ses emmerdes qu'il a crassé horrible malheur à prévoir n'a jamais été et ne sera plus que le lieu sacré de l'agressé auto-sucé veinard le jour, le fameux soir où il aura été digne de ployer sous l'étreinte speedée de ses mains enragées autour de sa gorge; des mains du démiurge abominable, le grand peters lui-même en proie à la décadence dont il avait nargué d'un jeu les séquelles. fêlé ne veut rien ruiner de sa vie, le silence en offrande. incident fumeux, damné sans gravité il s'merde les yeux, et s'en bénira toujours salvation lui-même – à néant si la main d'ardeur blonde s'enlace à la sienne. d'elle, à jamais en vouloir sous toutes les coutures. même celle illusoire, à jamais avoir les tripes de la laisser s'éloigner trop longtemps. ne m'oublie jamais, ou je débourberai le tombeau de nos brasiers, cendres à te remémorer de moi – et les ferai encore carboniser dans leurs pauvres restes – moi, ton seul amour nocif, en dépendance incurable. agression commise hors de lui, le fan en exaltation, hystérie d'gâté gagneur de balls en or. rien à y cerner, la psychologie de fanas détraqués échappe à ossuaire d'insensé dont il s'est déjà possédé – ivre confus, instable profond voudrait que les remords le grugent, l'assomment et fassent jaillir le sodium de la ruine, mais fuit la ruelle délabrée et se réfugie dans la caisse. flasque de gnole brouille la piste des écumeurs de l'oubli, s'enfonce maniaque dans l'envie fardée besoin impérieux. j'suis au volant, j'roule vif vers toi j'arrive toute suite. tu me sauves emma.

route déserte de sorgue avancée crisse sous les pneus imprudents, les sens embrouillés et risque-tout veulent de dessein capricieux la voir, maintenant. au péril de tout ce qu'il est, mais il n'est plus que moitié, ombre de ce qu'il était d'immaculé. contaminé brindezingue n'y pense plus, à ce qui lui reste à perdre. plus que l'obsession égoïste de la piéger de lui, encore. le seuil tant rêvé, tentation tant refoulée dans le motus, le dégout en règne aux désirs réfrénés. tu m'manques, tout me manque, et j'peux plus en dépérir. même si en horreur je t'ai, et que sans-cœur d'charogne m'enfièvre encore les charnues d'amertume sibérienne. au diable, je suis fou de toi. caisse mise à mort sur le coin de trottoir, soulaud traine sa misère titubante jusqu'à la porte et la titille du coin de sa flasque greffée pour s'annoncer. détresse en lueur alors que l'être est plaisir effervescent, délivrance débauchée d'un manque à ses traits qu'il crispe aussitôt plus convaincants, pauvre diable- il emboite le seuil mais se rate, le pied s'accroche maladroitement et la carcasse pouacre d'éthanol balance vers elle, étroit abordage des corps, le gauche s'enivre irrésistiblement de l'essence blonde, parfum hypnotique, le visage sombre au creux de son cou. la main libre caresse et longe l'échine, la comédie en branle, il a envie d'elle plus qu'il n'a besoin qu'elle l'aide, et pourtant, lorsqu'il la touche de tendresse, rien n'a l'air plus vrai, rien n'est plus euphorisant réconfort.«emma...enfin toi.» rictus conquérant à la rive du derme. emma, tu peux plus m'échapper désormais, foutus, on s'est  encore  condamnés.





Emma Roberts
Emma Roberts
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actress and now producer.
single, busy being rhodes' mom.
chandelyer (avatar)
Dim 11 Déc - 19:12


fiel des amants

ft. evan & emma

Soirée qui prenait des proportions inédites. L'impression d'avoir été plongée dans le passé en un seul message. Dynamique des plus étranges qui reprenait place à travers un écran de téléphone, mais le plus étrange dans tout ça était le sentiment de familiarité ressenti. Comme si tout avait repris son ordre. Quelques années déjà que tout contact avait été rompu, et pourtant il suffisait d'un rien pour retrouver ce qu'ils n'avaient avec personne d'autre. D'abord l'envie d'ignorer ses messages, mais trop curieuse pour laisser la chose glisser. Puis l'envie de l'envoyer valser, mais seul lui savait comment la piéger. Un scandale était la dernière chose dont elle avait besoin. Attirer l'attention, et risquer d'avoir des voisins un peu trop curieux, ou les rats de paparazzis à prendre quelques photos indécentes ? Jamais. La blonde avait trop travaillé pour se racheter une belle – et fausse – réputation des plus propres après ses frasques. Principalement causées par le poison de sa vie d'ailleurs, nul autre que Peters. Elle préférait mourir que le laisser tout ruiner en un claquement de doigt. Alors elle craquait. Ses doigts qui pianotaient sur son écran pour lui annoncer qu'elle venait lui ouvrir, après l'avoir fait attendre. Passage dans la chambre de Rhodes pour s'assurer qu'il dormait profondément, avant de refermer la porte derrière lui. Après avoir passé autant de temps à l'endormir, seule une maman pouvait avoir des envies de meurtre à l'iéde d'avoir une intrusion extérieure réduire à néant tout son travail acharné. Alors voilà qu'elle dévalait les escaliers et ouvrait la porte après un énième coup à la porte entendu. Pas même le temps de prononcer un mot qu'il trébuchait et terminait presque dans ses bras. Soupir lâché parce qu'elle avait devoir le supporter alors qu'il n'était pas dans son état normal. Et aussi car elle peinait à se rendre compte de ce qu'il se passait réellement. Evan chez elle. Porte rapidement refermée avec le pied alors que ses mains étaient occupées à le maintenir autant que possible debout. « Mon fils dort, tiens toi correctement ou tu dégages. » Qu'elle annonçait. Poser les termes d'office pour qu'il comprenne les règles. Mais énoncées à voix haute tout autant pour elle. Pour se poser des barrières. « Qu'est-ce que tu fous là ? » La question qui hantait son esprit depuis le premier message reçu une trentaine de minutes avant. L'impression que quelque chose d'important s'était passé, pour qu'il ne finisse chez elle.

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fürelise (ava)
Mer 14 Déc - 6:42

fiel des amants ★ never break the chain
(vêtements/aesthetic/musique)

gris entre ses mains, titubant est malicieux affectif. inspire le besoin irrépressible en caresses, elle en soulas à toute l'horreur qu'il a ensemencé ce soir et qui l'a encore grugé à croc de vieux loup. pestilent; le psychique déchoit, amplifie les vices, les mauvais travers. mon fils dort. jalousie éventre le plaisir en la tripaille  – de l'avoir enfin près de lui. des années d'âcreté à en avoir retenu fauve envie, à avoir subit son bonheur en malheur. égoïste possessif à l'adversité de son dégoût qui l'a retenu abstrait de sa vie. t'as fait d'un autre le progéniteur de ton bonheur. néant à tes yeux a l'importance, la place qui me revenait. chiendent encore prédominant au bon foin; jaloux sans frein au coup de poignard, et pourtant il a finit par moins s'étouffer avec le calice. emma mon pardon en résurgence inépuisable de mon amour-poison, parce que sans toi je ressens le pire, même si avec toi je suis mes vils visages. « oui, ton fils. j'me suis pas assez arsouillé pour avoir oublié. » ton, et non le nôtre. recul prompt et étourdi de l'ivre qui montre ostensiblement sa frustration mal placée, à s'en dégommer sanglant la mâchoire en trébuchant s'il s'était laissé mener sans forcer la stabilité rustaude. « et en pestant le danger, c'est toi ou c'est moi que t'essaies de mettre en garde ? t'es ce qui s'éloigne le plus d'une blanche neige, em » aussi irrésistiblement vénéneuse que lui, se repoussent et pourtant s'attirent toxique pérennité. brun recule mais en redemande, jamais pudibond. « parfois, j'aime ça.» le regard fuyant à tourmente qui le possède, ce que je fous c'est que je voulais te voir, avant le reste. « j'ai déconné.  et... je sais juste que, c'était  irréfrénable. j'ai pensé à toi, une seule pensée en refuge au chaos que je venais de foutre. » et à flambe-pourpoint instable ne joue plus, dégringole dans la turbulence de la réminiscence d'horreur, palpitant s'affole, tympan sonne la dégénérescence et poumons surchauffent de plus en plus le souffle. les pas s'agitent en aller-retour courts, tension nerveuse ruissèle humide sur le front, paroles sont déchiquetées à la fusillade des souvenirs violents qu'il veut enterrer, et se dilue nocif à absinthe et jalousie qui perce encore – saloprie intraveineuse qui brouille le filtre « et, seule? t'es seule ? sans deldund. ou j'sais plus trop son... il a jamais été fait pour toi,j'le sais, tu le sais. putain même l'ermite qui sort jamais de son trou le sait.  oui il l'sait... » crise hurle la gravité de sa soirée, et de son manque. plus qu'il ne l'avait imaginé, il s'enfonce encore et encore, tente de toutes ses forces de tempérer, mais s'engouffre. enfin s'épancher, se débarrasser des images qu'il fait fuiter en paroles pétulants. gestes impulsifs, emportés, presque sordidement passionnés.  « le fan. il était là, me pétait les tympans avec son hystérie, me bouffait va-de-la-gueule tout mon espace.. » le regard déphasé, les pas véloces prennent encore sa direction. «il m'a figé avec sa paluche de taré alors que je voulais me tirer, alors je l'ai attrapé...  » se rapproche, presque intimidant, provoque l'impact délicat de son dos contre le mur,  la nuque en obsession dévoyée, l'une de ses mains frôle, les pulpes caressent la gorge, encerclent imprévisible à la manière d'un boa, constricteur sans la pression suffocante, l'amorce tragique. les corps en périlleux rapprochés, transporté par l'effet sinistre qui l'avait envahi « comme ça. plus violemment. plus fort. avec les deux. contre le mur, quelques secondes... sans respirer. et le plus atroce, c'est qu'une fraction de seconde, je crois avoir aimé ça.» l'allure et la voix hypnotique, il raconte et revit ardemment l'ébullition. la prise de ses phalanges en légère étreinte, cette fois c'est son regard dans lequel il se perd, et se retrouve. la crise en redescente, jamais lui faire ce mal dans la souffrance, jamais à elle. le murmure chaud à la rencontre de sa pommette, la rassurer en deuxième initiative, voir de quoi est fait la confiance, l'attraction et les vestiges du passé. « je te fais peur.. emma ? » un souffle affecté, une croyance marquée  « je crois que dahmer m'a déglingué. »


Emma Roberts
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Lun 2 Jan - 19:49


fiel des amants

ft. evan & emma

oui, ton fils.. Si il savait. Petit sourire presque cruel qui s'affichait sur ses lèvres. Est-ce qu'elle était tordue de s'en amuser ? Sans doute. Elle le tenait avec une vérité dont il n'avait même pas existence. Le rictus en place surtout parce qu'au-delà de tout ça, il lui avouait à demi-mot qu'il aurait voulu être le père. Pas Garrett. Lumière faible, éclairant assez la pièce pour voir où ils mettaient les pieds mais peut-être pas assez pour observer tous les traits de l'autre. Alors elle espérait qu'il ne voit pas son expression du visage, bien qu'elle était trop bonne actrice pour se laisser piéger par une phrase. Aussi révélatrice soit-elle. Et trop maline pour laisser sa langue fourcher et trop en dire. À la place, elle gardait le silence sur ce point. « T'es vraiment bourré, ou tu dirais pas ce genre de conneries. C'est toi qui est venu à moi, pas l'contraire. » Et elle aimerait savoir pourquoi, d'ailleurs. Ils ne s'étaient pas adressé la parole depuis un bon bout de temps. Assez pour que les mauvaises habitudes les quittent, pour que leur dynamique de ramper à l'autre ne soit plus. Pour Emma, du moins. Elle y avait cru, jusqu'à ce que quelques pauvres messages la refoutent dedans. « Qu'est-ce que t'as fait ? » Les sourcils froncés, la blonde comprenait qu'il y avait quelque chose de plus derrière tout ça. Il n'était pas seulement trop bourré. « Hedlund. » qu'elle corrigeait, le regard froid. Pas très envie de parler de lui, ni de penser à lui, tout de suite. Mais il s'en foutait bien Evan, de ce qu'elle voulait. Ça avait toujours été comme ça. « Il est pas là. » Sans rien expliquer de plus. Pourquoi lui dire qu'elle était retombée à la case départ, que leur couple n'était plus ? Ça lui ferait bien trop plaisir de savoir qu'elle en était au même stade. Et ça frottait un peu trop l'égo de Roberts. « T'as eu une altercation avec un fan ? » Qu'elle comprenait vaguement à travers ses paroles. Les sourcils froncés, parce qu'elle comprenait immédiatement les conséquences que ça pouvait avoir. Foutu besoin qu'il soit en bonne posture, et l'inquiétude qui montait. Au même rythme que son dos se retrouvait collé au mur alors qu'il l'approchait de trop près, brisant les barrières instaurées. La grande gueule n'était plus. Loin de la Emma aux lèvres qui crachaient du venin. Elle était là, suspendue à ses lèvres et son regard. Puis sa main qui se posait sur sa gorge. Frisson au premier contact physique depuis pas mal de temps. Bien trop, en vue de la réaction que tout son corps avait. Embrasé à un simple geste, qui se faisait pourtant plus violent. « Evan.. Lâche-moi. » Surtout pas. Situation inconfortable pour d'autres, mais ici, douce familiarité retrouvée entre les deux anciens amants. Volonté d'ignorer sa question, parce qu'elle n'y trouvait pas de réponse. Autant de peur que de nostalgie ressentie.  La douce main de la blonde qui se posait sur celle d'Evan, le forçant à serrer sa prise. « Dis pas ça. » Comparaison avec le meurtrier qu'elle ne voulait pas entendre. Alors sa prise se relâchait, libérant à la fois sa gorge pour mieux s'exprimer. « Vous étiez seuls ? Est-ce qu'on t'a vu ? » Entre les retrouvailles délirantes, lucidité qui s'y était glissée.

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fürelise (ava)
Mer 4 Jan - 7:38

fiel des amants ★ never break the chain
(vêtements/aesthetic/musique)

 « assez lucide pour me souvenir que bien se tenir ensemble c'est espérer rattraper une pierre après l'avoir lancée, ou décrocher la lune.  que ce soit toi ou moi qui reviens vers l'autre. » évidence transcende les errements contaminées éthanol à travers la pièce baignée d'ombres plus que de contours, l'impitoyable toile faciale à l'échappe du fiévreux qui luttait déjà contre ses monstres carnaires – le faisait descendre, se perdre jusqu'aux gouffres chancres.« deldund, dodlund, hedloud, ça m'en secoue une sans m'remuer l'autre.  le joujou reste ce qu'il est, quelconque et pas fait pour toi. » que le souffrant trouve à répliquer alors que c'est tous les fibres de son corps qui s'égrugent sous acide. psychique aussi lamentable que le squelette fébrile qui s'y soumet, la main à la gorge de mauvaise-aimée, et la respiration ardue comme à bout pourtant trop prématurée par ce qui le secoue et le mord, contre le derme de celle qui a de nature le verbe haut, qui se fait aussi sec tombe et douce à l'égard  de celui qui a vaincu les ennemis à la riposte de sa beauté létale, qui l'engouffre dans cette même vague de nostalgie, les rencontre dans tout ce qui les font se damner, s'aimer pour mieux se détruire dans leur fatalité. l'attraction de deux mis en œuvre l'un pour l'autre pour un jour de rencontre ne jamais plus pouvoir manœuvrer d'eux-mêmes. sans l'autre, sans l'abominable manque. d'une pièce qu'on aurait arraché sans vergogne pour le faire misérable, défectueux. sans, avancer est à portée. mais à celle de l'accro, de celui qui n'a jamais connu plus intense coup de foudre, jamais. « emma, je...  »  evan... lâche-moi. sa prise se desserre docile à la douceur de sa main, la proximité en aucune volonté de leur ôter, seulement d'accorder de ne plus la toucher pour animer l'angoisse. « aie pas peur de moi. »  les mains entre la sienne qui l'enveloppent tendre pour la rassurer, il la porte à son cœur en caresses et son front accoste le sien, les yeux clos de confort. « je pourrais jamais, avec toi. perdre les pédales à ce point. jamais. même si je suis plus abimé que ce que je croyais. c'est toi qui me tire de cet enfer. » la vision s'illumine, se perd dans les formes hypnotiques de ses yeux. le désir et la passion trop intenses pour être contenu par ce monde. « même à travers toute l'horreur que tu sèmes sur le sillage que j'emprunte, encore et encore, t'as toujours été l'écho inlassable de tout ce qui m'apaise, et aussi me rend fou. » ivre filtre à mal tout ce qu'il ressent, et si près d'elle, et si près de ce qu'il peine toujours plus à ignorer. ses lèvres, les souffles qui s'échangent et attisent l'appel de l'insupportable. de la passion dévorante qui les emprisonne, de cette nostalgie de peau dépendante, au suspend des lippes la force chancèle. peut-être que je devrais partir. pour ceux qui ont la conscience de ne pas se jeter dans le même précipice par mille fois. lui, jamais il ne l'aura. jamais, à ses côtés. elle l'a fait se cramponner à ses griffes, la fait impuissant de vivre sans elle et de sa cruauté trop longtemps. « peut-être que tu devrais me dire de partir. » avant que je ne puisse plus dominer cette pulsion d'un baiser dérobé qui me consume tout entier. esprit toujours sous le joug de l'infernal besoin, il y trouve la lucidité pour reprendre, sans s'y pencher comme au premier vicieux plan. enjoliver le malheur pour mieux la tenir, maintenant c'est à l'orée de ce qu'il était venu chercher, qu'elle se trouve. « je sais pas, si on nous a vus. lui il sait, lui il peut me détruire. réduire à feu et à sang ma carrière. c'est tout ce que j'ai. tout ce que j'ai jamais fait de bien.  » succès mémorable au milieu de milliers d'échecs avérés, jouer et en mettre plein la vue dans la peau de tarés, c'est tout ce qu'il sait faire de mieux, tout ce qui l'empli d'amour-propre.  modeste à ne jamais s'en vanter, encore moins s'accorder à ceux qui le comparent à brando, et les autres géants de l'écran.


Emma Roberts
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Ven 3 Mar - 0:52


fiel des amants

ft. evan & emma

« T'as tord, il se passera rien. » Des paroles en l'air, Emma en était la reine. Comme les nombreuses fois où elle avait craché sa haine sur Evan, lui promettant ne plus jamais regarder en sa direction. Et comme à chaque fois, c'était retour à la case départ. Cette fois-ci, elle avait tenu plus longtemps. C'était désespérant, mais elle s'en félicitait. Personne ne pouvait être dans sa position, ni comprendre à quel point il était ancré en elle. Dix ans depuis la première fois qu'elle avait posé les yeux sur lui et elle ne se souvenait plus de ce qu'avait pu être une vie sans lui. Pire encore, elle n'existait pas avant qu'il y entre. « T'as ajouté matchmaker à tes différentes casquettes ? » Le ton glacial mais le cœur qui se serrait. Plaisir coupable, d'aimer qu'il déteste autant son ex. Celui qu'il croyait être le père de son fils. Elle ne pleurait pas de l'avoir perdu. Se retrouver seule l'avait forcée à se confronter à certaines vérités, mais elle ne regrettait pas d'avoir vu leur histoire se terminer là. Pas comme Evan avait laissé sa trace. Une vérité qu'elle se cachait bien d'avouer à Peters. Parce qu'elle voulait laisser l'ambiguité planer, elle voulait qu'il devienne fou à se comparer à Garrett. Rien de l'animait plus que de voir les yeux torturés de celui qui se trouvait en face d'elle, de par sa faute. Trop proche, même. Pour glisser sa main jusqu'à sa nuque et la bloquer contre le mur. Il n'y avait pas d'échappatoire pour la blonde, et cette dernière n'était pas certaine d'en vouloir. L'impression de ne se sentir vivante que lorsqu'elle sentait son toucher. Un seul contact qui suffisait à l'embraser, plus qu'une possible infinité passée avec Hedlund. Et ses sourcils qui se fronçaient car elle sentait sa prise se desserrer, tout ce qu'elle ne voulait pas, mais ne pouvait le crier. Tout ce qui lui restait, c'était sa dignité. La seule et unique chose qu'il ne lui avait pas encore arrachée. Parce que son cœur, lui, l'avait quitté il y a bien longtemps. Traître qui avait migré chez l'acteur. Elle pouvait sentir son propre palpitant battre chez lui, alors que leurs fronts entraient en collision. « Je.. Arrête. » Presque un supplice d'entendre ses paroles, si près de ses lèvres. Et elle avait dû amasser toutes ses forces pour lui demander d'arrêter, sans en avoir vraiment envie. Lui avait l'excuse d'être enivré, elle n'en avait pas. Encore une fois, seule sa dignité subsistait et la poussait à être celle qui aurait le bon comportement. Deux termes qui ne s'associaient pas ensemble lorsqu'il s'agissait de l'autre, car seule la folie persistait. Mais il n'y avait pas d'autre choix. « Tu peux pas faire ça. Me lâcher tout ça et me dire de te faire partir. » Il n'avait pas le droit de jouer autant d'elle, parce qu'il savait qu'après tout ça, elle ne pouvait pas le flanquer à la porte. Mais encore et toujours, c'était le monde d'Evan et Emma finissait dans le tourbillon sans pouvoir y exercer le moindre contrôle. « Si c'était le cas, ton téléphone serait déjà entrain de vibrer sous les alertes. Lui, faut qu'on le coince. T'as une identité ? J'peux me charger du reste. » on. Les problèmes de l'ex qui devenaient toujours les siens, parce qu'elle savait pas faire autrement.

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Sam 4 Mar - 4:14

fiel des amants ★ never break the chain
(vêtements/aesthetic/musique)

tw/rapprochements physique, toxicité.

rictus visible, lucide de la fausseté de ses avances. pour une fois, le truisme est esculent. elle prétend qu'entre eux ne vit que le monotone, mais ne brûle que la déraison. d'un amour, d'une dépendance extatique à l'ampleur qui dépasse tous les mortels. « si t'as des yeux, tu finiras par le voir aussi.  t'es trop bornée. ou c'est que tu veux m'en faire baver.  » et elle seule est la fautive, entre les lignes qui se font calomniatrices. lui aussi, s'en aura persuadé pour se passer d'elle durant toutes ces années. qu'ils étaient faits pour se désunir pour leur bien, à foutaise les illusions ancrées. à tranchant le mensonger. ce soir,  il ne s'en braque plus ;il la veut. à jamais ou à agonie. qu'elle emporte tout son vital, et ne le fasse plus désirer quoique ce soit à part le néant. rien n'a d'égal tout l'intense qu'elle déchaine en lui. s'il ne peut pas l'avoir, autant se perdre à jamais.  « partir. je pourrais pas. pas avant...» lui faut qu'on le coince. allumage des envies irréfrénables qu'il ne peut plus exiler sans en dépérir, les charnues se plaquent contre ses lippes et taisent l'eurythmie de sa voix pour succomber à la tourmente destructrice. se mourait vivant de se tenir devant elle, comme si malade d'amour avait les facultés de résister à son besoin vital. d'elle. le on qui le fait flancher, l'union qu'il convoite plus que la vie éternelle. son buste et tout son ossature imposante l'épouse, l'enfonce contre le mur. il l'embrasse avec passion et filament de fougue, l'irrépressible désir de la sentir réelle, bien avec lui, contre lui. des rêves d'elle,  des années amers, loin à s'enfoncer dans l'illusoire d'une vie comblée sans elle, qui éclate en milles tessons, aux souffles qui les lient effrénés d'ivresse, écorchent en mal et fait saigner le myocarde. « tu me manques. tout de toi me manque. » soufflé et immiscé entre ses lèvres, syllabes désunis autour de quelques baisers affamés, gorgés d'un manque insoutenable. cumulé en fervence. soudain, réminiscence toxique, obsessionnelle, destructrice nourrit par l'éthanol empoisonnant les veines, lorsque c'est dans l'élan avide de la manquée qu'il s'empare de ses cuisses pour les rallier promptement à ses flancs. souvenance corruptrice de l'envie éthéré, d'une frappe ravageuse il renverse les babioles de la table d'appoint et sur le plat dégagé il la pose, le regard embrasé, la fulgurance aussi instable de passion que de fiel, sa bouche à l'effleurement de sa mâchoire pour y promettre descente de baisers lascifs, le désir palpable de sa chair.  « ...depuis tout ce temps. pourquoi, lui ?» toi, personne n'a su t'exorciser. aucune jamais, ne m'a jamais suffit. toutes, m'ont blasé dès la première nuit. les pensées en fusion, en collisions, en flammèches. il est pas là. ses mots raisonnent désormais, heurtent. il lui en veut autant qu'il la veut. pas là, pour l'instant ? et demain ?  les bibelots pétés au sol, satisfaction puérile du possessif. rien ne gravite autour de sa sphère, rien qu'elle. tout le pourri qu'elle enfante, jusqu'à y perdre son âme. hedlund, il va se demander pourquoi, demain. pourquoi le sol est sépulture brutale et glaciale de quelques fragments du cocon d'amour.  


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Jeu 23 Mar - 22:00


fiel des amants

ft. evan & emma

Les émotions tel un yoyo qu'elle ne savait pas arrêter. Et elle les avait presque oublié, ces émotions là, tant elle ne s'était pas retrouvée dans une pièce seule avec lui depuis un long moment déjà. Familiarités déjà retrouvées, peut-être un peu trop, d'ailleurs. Voilà qu'il prenait ses aises et ça, Emma ne pouvait pas l'accepter. Comme un aveu de faiblesse qu'elle n'était pas prête à dévoiler. « Tout ne tourne pas autour de toi, Peters. » Le besoin de le remettre à sa place pour maintenir le contrôle, de marquer la distance en l'appelant par son nom de famille. « Mais j'ai des yeux, et ma vision est très claire ce soir. » Pathétique, qu'elle était. Rentrer dans son jeu alors qu'elle n'avait aucune excuse. Lui était bourré, mais pas elle. Pas une seule goutte d'alcool dans le sang, mais elle se sentait toujours ivre d'amour à ses côtés. Le temps avait beau passer, rien ne changeait. Aussi fort qu'elle puisse le vouloir. À qui pouvait-elle bien faire croire le contraire, de toute manière ? Il avait trouvé le moyen de la faire craquer par message jusqu'à ce qu'elle accepte de le recevoir, alors évidemment qu'il obtiendrait tout d'elle, face à face. Et voilà que les problèmes du blond devenait siens, prête à se mouiller pour trouver ce fan qui pourrait mettre en danger la carrière de son ex. Impossible d'accepter qu'une personne extérieure puisse lui causer du tord. Le regard plongé dans ses yeux qu'elle sentait en détresse, et qu'elle ne pouvait ignorer. Comme une rage en elle qui montait qu'un autre puisse lui faire du mal. Violentes pensées coupées par les lèvres d'Evan sur les siennes. Comme paralysée, puis se sentait tomber pour se perdre dans cette étreinte qui la consumait toute entière. Et par chance, son dos qui se retrouvait collé au mur, seule chose la maintenant parce que ses genoux auraient pu flancher. tu me manques. qu'elle aurait voulu crier à son tour, mais rien. Trop bouleversée par ces baisers, par ses mots. Juste prête à s'abandonner à lui, ses promesses internes mises à la porte et ses jambes entourant sa taille. Puis entraînée jusque sur la table, le reste terminant au sol, à l'image de la tornade qu'avait toujours été Evan dans sa vie. Si bien qu'elle en oubliait Rhodes endormi à l'étage. « Parce qu'il n'est pas toi.. » Et s'il savait, qu'il n'était plus dans les parages..



code by EXORDIUM. | ft. @evan peters



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I say "fuck it" when I feel it, cause no one's keepin' tally. I do what I want with who I like
Evan Peters
Evan Peters
kingdom on earth
devil in disguise (he/him)
400
météore ficelier d'attraction obsessionnelle, enflamme les lueurs et lui se consume. à l'impulsivité maladive les débris poussières. acteur.
sans entrailles à la pulsion d'amour minable. besoin viscéral à l'obstacle de l'insoluble, tentation loyale d'elle, le cœur hanté à l'exil des attaches volages.
fürelise (ava)
Hier à 12:48

fiel des amants ★ never break the chain
(vêtements/aesthetic/musique)

tw/rapprochements physique, toxicité.

tout ne tourne pas autour de toi peters. rictus sardonique dissimulé dans la pénombre, le nom qu'elle a décidé d'ériger en mur, qui la trompe indéniablement dans sa fausse vérité. « seulement lorsqu'il s'agit de ton monde. comme dans le mien tout gravite autour de toi. » l'insolence amoureuse, d'amour caché qui sans qu'il le sache réellement vif le pense encore en fragments dont la destinée est de se regénérer à chaque fois, pour lui. rien que pour lui. toute sa vie, chose saine ou mauvaise, il s'en fout et le désirera, le cherchera toujours ainsi. qu'elle flanche pour lui, à l'infini. cette fois ce sourire satisfait qu'il laisse percevoir. des yeux elle en a, comme lui en ce moment malgré la boisson il décèle le lâché prise. le confort, à ses côtés. triomphe partagé cette fois en complicité, en dernier honneur, avant que le chaos des amants n'éclate encore.  




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